À propos

Mon oncle
Bonjour et bienvenue,
Je m'appelle Gilbert, et je suis né à Arles, la capitale de la Camargue, où j'ai grandi au cœur de ce triangle magique entre terre, mer et ciel. C’est là, dans les vastes étendues de la Camargue, que j’ai fait mes premières photos. Je me souviens encore des heures passées dans l’élevage des taureaux au Mas des Bruns, sur la route de Sainte-Marie-de-la-Mer. Mon oncle, responsable de l’élevage, m’a transmis sa passion pour l’observation de la faune et de la flore camarguaises, et c’est lui qui m’a appris à regarder le monde sous un autre angle.
Ma première photo fut d’ailleurs celle d’un taureau, capturée avec l'appareil photo que ma mère m’avait offert pour mes 10 ans : un Kodak Instamatic 192. Bien sûr, le coût des pellicules et du développement me freinait parfois, mais cela n’a fait qu’alimenter ma patience et ma détermination.
J'ai grandi, pris des chemins différents, et pendant 8 ans, j’ai travaillé en menuiserie. Mais l’appel de la nature n’a jamais cessé de résonner en moi. Un jour, j’ai décidé de changer de cap et de postuler en tant qu’employé agricole dans une propriété en Camargue. La chance m’a souri, et c’est à la Grand Ponche que j’ai découvert l’interconnexion profonde entre l’homme, la terre et les animaux. Ce fut une révélation : l’homme n’est qu’un maillon de la nature, et à travers le travail des terres, j’ai compris que l’observation des animaux exigeait une approche respectueuse et attentive. C'est ainsi qu'a germé l'idée que, bien camouflé, on peut capturer de magnifiques images de la faune sauvage.

Cheval camargue

Balbuzard pêcheur
En 2013, lors d'un voyage aux États-Unis, ma femme m’a offert un Canon Powershot SX40HS. Ce fut ma première véritable caméra numérique, et j’ai pris mes premières photos d’animaux à Central Park, mais aussi de New York sous un angle inédit. Peu à peu, mon équipement a évolué. J’ai investi dans un Canon 7D et un objectif 70-300 mm, ce qui m’a permis de me perfectionner, notamment dans la capture des oiseaux : martin-pêcheur, balbuzard pêcheur, et bien d’autres.
Puis, je suis passé à un autre niveau en optant pour un Canon 7D Mark II et un objectif Sigma 150-600 mm. Ce fut une véritable école de la rapidité et de la précision, des qualités essentielles pour la photographie animalière. Aujourd’hui, je photographie avec un Canon R7 et un objectif 100-500 mm, mais je ne compte pas m’arrêter là. Le R5 Mark II est déjà dans ma ligne de mire, un nouveau défi à relever pour continuer d’évoluer.
Chaque étape de mon parcours a été un apprentissage, mais surtout une passion grandissante pour la nature et la faune. La photographie est devenue pour moi bien plus qu’une technique, c’est une quête sans fin, un moyen d’immortaliser la beauté fragile du monde sauvage, tout en restant un observateur respectueux.
C’est ainsi que, de simple amateur, je suis devenu un photographe animé par le désir d’améliorer constamment ma pratique, tout en préservant le plaisir de parcourir la nature et de m'émerveiller de ce qu'elle a à offrir. Parce qu’en fin de compte, la nature est un éternel renouveau, et on ne s’en lasse jamais.

Roitelet triple bandeau

Kodak Instamatic 192

Canon Powershot SX40HS

Canon 7D . EF 70x300

Canon 7D Mark II 150x600 Sigma

Canon R7 100x500
